VDQS lance l’offre « Dernier œil »

Crédibilité, lisibilité, e-notoriété

Des études le montrent : la non-gestion des déficiences en langage écrit dans un cadre professionnel génère des coûts cachés, par le truchement de pertes induites au niveau des processus vitaux d’une entreprise (offres, prestations, communication, etc.).

Le recours aux habituelles relectures « maison » peut se justifier pour des contenus présentant un faible impact en cas d’erreurs résiduelles. En revanche, pour des textes plus importants, user de telles pratiques, c’est risquer de subir ces coûts d’une façon non directement perceptible.

C’est risquer de saper la confiance des clients et des prospects, c’est risquer la perte de contrats, c’est risquer la diminution du « ré-achat », sans que ces manifestations préjudiciables à l’entreprise ne soient imputables à des problèmes de fond techniques, commerciaux ou financiers.

Bref, négliger le processus rédactionnel revient parfois un peu à jouer à la roulette russe…

Relecture : une tâche d’envergure

D’un point de vue strictement économique, hormis le regard « métier » spécifique à l’entreprise, les heures de relecture confiées aux salariés (les collègues de l’auteur, son responsable opérationnel ou hiérarchique) sont dépensées sans grande efficacité car réalisées par des non-professionnels de la correction, avec une plus-value limitée pour ces tâches auxquelles ils n’ont pas été formés.

La traque des fautes d’orthographe, de grammaire, de conjugaison et de typographie, l’amélioration du vocabulaire, la suppression des lourdeurs, le repérage des doublons, des répétitions, l’amélioration du niveau de langue, la recherche de la concision, de la clarté, de la lisibilité, de la structuration… tout cela demande jusqu’à une dizaine de passages successifs sur un texte !

Imaginez la vitesse de relecture d’un ingénieur ou d’un chargé d’affaires, accaparé par ses multiples préoccupations. Imaginez la perte de temps pour un cadre supérieur perdant son temps à corriger un texte trop faible…

Ces « fausses bonnes idées » d’économie de relecture exposent alors l’entreprise à des coûts incontrôlés, aux conséquences imprévisibles d’une mauvaise transmission de l’information entre les auteurs et les destinataires.

Réaliser les tâches de relecture et correction avec efficacité et dans des délais économiquement viables requiert des compétences spécifiques et une organisation que seuls des professionnels de la correction peuvent offrir.

L’offre Dernier œil : une solution simple et rentable

Dans ce contexte, VDQS a le plaisir d’annoncer le lancement d’une offre de service aux entreprises, visant à mettre à leur disposition un savoir-faire de correction professionnelle, pour l’optimisation de textes importants.

Le service Dernier œil est adapté aux contenus critiques, en particulier les documents destinés à des clients exigeant une qualité rédactionnelle au-dessus de la moyenne, ou encore des textes à vérifier dans l’urgence – car ils doivent être diffusés le lendemain.

Dans les deux cas, cela implique des notions d’efficacité et de rapidité.

L’offre Dernier œil inclut plusieurs tarifs en fonction du niveau requis pour la relecture et la correction des textes, avec un travail possible à la fois sur la forme et sur le fond, grâce à des compétences scientifiques et techniques de son personnel, dans des secteurs variés – de l’industrie du livre à celle du ferroviaire ou du nucléaire, en passant par la recherche universitaire, la pétrochimie ou le biomédical.

Premier retour d’expérience

Le service Dernier œil a été testé en vraie grandeur en 2019, pour des textes à visée commerciale, dans les secteurs de l’aéronautique et de la pétrochimie. Les personnes en charge de ces documents ont ainsi pu se concentrer sur leur cœur de métier, l’esprit dégagé des contingences de la langue française !

Un retour positif de la part des clients de VDQS, ce qui est encourageant pour la poursuite et le développement de cette activité transversale…

N’hésitez pas à contacter VDQS pour obtenir renseignements et devis.