Êtes-vous concerné par OptiMots ?

Vous n’avez guère de temps pour y penser… Justement, parlons-en !

Les imperfections dans vos textes peuvent-elles vous nuire ?

Vous seul pouvez évaluer leur impact sur vos activités, sur votre notoriété, ou sur d’autres plans. Par exemple, si vous êtes distributeur de très bons légumes frais, il y a peu de chance qu’écrire « courjettes » vous empêche de les vendre avec succès (Raymond Devos aurait ajouté  : « Quoique… »).

Mais c’est beaucoup moins sûr si vous êtes coach, ou consultant en qualité, et que vos offres commerciales mentionnent : « Confiez-nous la rédaction de vos document en toute tranquilité… »

Combien de fautes avez-vous relevées en première lecture dans cette phrase entre guillemets : une, ou deux ? Aucune ?… Plus de deux ! Alors là, c’est à VDQS de chercher un correcteur indépendant…
Personne n’est à l’abri.

Vos solutions actuelles

Une fois vos risques évalués en tenant compte des impacts  vraisemblables, deux voies (parmi d’autres) s’offrent à vous :

1. Accepter ces risques et continuer comme avant (après tout, vous vous êtes bien passé de correcteurs professionnels jusqu’à présent, non ?) ;
2. Évaluer la performance de vos solutions actuellement en place, et décider le cas échéant de les adapter, de les améliorer.

Performances de vos solutions

Dans ce dernier cas se pose le double problème de l’efficacité (vos solutions actuelles suppriment-elles bien les problèmes ?) et de l’efficience : combien cela vous coûte en termes d’effort, de temps, de coûts, pour parvenir au niveau souhaité de qualité documentaire.

Par exemple, si vous êtes un as en orthographe, avec un score de 950 sur 1 000 au Certificat Voltaire, et qu’en prime vous êtes super rapide, ou que vous ne comptez pas vos heures au bureau (ni chez vous !), alors OptiMots vous ferait gagner surtout du temps – ce qui ne fait peut-être pas partie de vos critères.

Autre exemple, dans les bureaux d’études de grosses sociétés, la correction orthographique des documents est souvent noyée dans le processus de vérification et validation, avec la revue des documents en interne ou étendue à d’autres participants. Le nombre parfois important de relecteurs (ce qui est un atout potentiel réel) donne alors un sentiment global de sécurité, sur la base d’un raisonnement du type « peu de chance que les erreurs graves échappent à tout le monde ».

Ce raisonnement a indéniablement une certaine valeur, mais même si ces relectures « maison » se justifient largement dans de nombreux cas, plusieurs facteurs limitants peuvent toutefois conduire à des pertes de valeur (lire à ce sujet cet article) pour vos projets ou votre entreprise, notamment :

1. Une qualité documentaire insuffisante pour certains documents critiques, à visée commerciale, ou concernant des systèmes potentiellement dangereux pour les biens, les personnes ou l’environnement, etc. – une fraction de ceux-ci nuisant à votre business, d’une façon certaine mais difficile à chiffrer ;
2. Des surcoûts significatifs et cachés, dus à un nombre élevé de salariés passant trop de temps à cette tâche, qui nécessite acuité et célérité visuelles, sans grande efficacité car ils n’y sont pas formés ;
3. Une combinaison de ces deux facteurs, malheureusement pas exclusifs l’un de l’autre…

Faites confiance à VDQS pour l’optimisation de vos contenus

La double compétence du créateur de VDQS, ingénieur et éditeur, vous assure de la prise en compte des différents aspects dans la création de vos contenus.

Un score de 987 sur 1 000 au Certificat Voltaire, la référence en matière d’évaluation du niveau de maîtrise de la langue française, vient appuyer sa formation auprès de professionnels de la correction, en particulier Valérie Cabridens, Jacqueline Peragallo et Patrick Boman, ainsi que sa maîtrise de la PAO (formation à Adobe InDesign CC sur iMac par l’École des métiers de l’information de Paris).

Trente années passées dans des secteurs variés (la recherche universitaire, la R&D en systèmes électroniques informatisés, les prestations d’études pour la maîtrise des risques liées aux industries ferroviaire, nucléaire, médicale, aéronautique, pétrochimique, pharmaceutique…)  permettent à Vincent Daumail de couvrir un grand nombre de sujets : vos projets peuvent très probablement en bénéficier également.